Acheter un appartement neuf à Toulouse : les pièges à éviter
C’est un fait indéniable ! La Ville rose est plein de charme. Ils sont de plus en plus d’investisseurs à être séduits par l’idée d’être propriétaire immobilier dans cette ville. Lorsqu’on choisit d’acheter un logement, certains détails méritent qu’on s’y focalise. Être propriétaire à Toulouse est un beau projet, à condition d’éviter tous les pièges. Voici nos meilleurs conseils !
Plan de l'article
- Piège 1 : ne pas s’intéresser à la zone d’implantation du bien
- Piège 2 : ne pas se renseigner sur le coût d’une copropriété
- Piège 3 : faire l’impasse sur les projets d’urbanisme de Toulouse métropole
- Piège 4 : ne pas se renseigner sur la fiscalité locale pour la prévision de son budget annuel
- Piège 5 : ne pas considérer le Pass accession toulousain
Piège 1 : ne pas s’intéresser à la zone d’implantation du bien
Outre le conseil de bien choisir le promoteur, il est important de se focaliser sur la localisation de la future acquisition. Le premier paramètre à prendre en compte est le choix du périmètre de recherches, vient ensuite le quartier à privilégier. Il s’agit d’ailleurs d’une décision personnelle, chacun ses goûts. Une fois la zone choisie, il est fortement conseillé d’arpenter les alentours avant ou après la visite.
Lire également : Acheter un appartement pour le louer en 2024
Il s’agit d’une sorte de repérage afin de juger par vous-même l’ambiance du quartier, d’identifier les commerces ou encore les établissements à proximité. Ce repérage peut très vite devenir un argument fort en cas de revente du bien immobilier.
Piège 2 : ne pas se renseigner sur le coût d’une copropriété
Se tourner vers le neuf est une stratégie gagnante pour devenir propriétaire immobilier à Toulouse. Les nouvelles constructions ont plusieurs avantages, dont le fait d’être économique et écologique (respectant les normes énergétiques en vigueur). Investir dans ce type de logement c’est accepter de vivre en copropriété.
A lire aussi : C'est quoi un mandataire en assurance ?
Dans la ville, près de 90% des copropriétés sont gérées par des syndics professionnels. La part restante est gérée par des syndics bénévoles. Lors de l’acquisition d’un bien, il est alors important de prendre en compte les frais de copropriété. A Toulouse, ces frais s’élèvent en moyenne à 22euros/m²/an.
Piège 3 : faire l’impasse sur les projets d’urbanisme de Toulouse métropole
C’est un fait, la ville de Toulouse est en pleine mutation ! Certains quartiers seront rénovés afin d’accueillir de nouveaux logements. Dans cette optique, une troisième ligne de métro est en cours de construction. Celle-ci entre dans le cadre du développement du territoire et pour mieux desservir la périphérie. Les futurs propriétaires immobiliers à Toulouse devront donc prendre connaissance du tracé de cette ligne lors du choix de leur logement.
Piège 4 : ne pas se renseigner sur la fiscalité locale pour la prévision de son budget annuel
La fiscalité locale est un autre coût à prendre en compte pour un projet d’acquisition immobilière à Toulouse. Si elle est moindre pour un locataire, elle a tendance à s’alourdir en tant que propriétaire. Souvent négligée, force est de rappeler que la taxe foncière représente une somme importante qu’il convient d’anticiper. Au moment de la visite, il serait judicieux de se renseigner sur les impôts locaux. D’ailleurs, depuis plusieurs années, ils sont en hausse, pas seulement à Toulouse mais aussi dans de nombreuses villes de l’Hexagone.
Piège 5 : ne pas considérer le Pass accession toulousain
Ces dernières années, Toulouse s’inscrit au classement des grandes métropoles embrassant une hausse des prix de l’immobilier. Afin de pallier ce phénomène, la municipalité a décidé de la mise en place d’un dispositif pour assurer aux résidents de la ville de devenir propriétaire. C’est alors que le Pass Accession Toulousain est mis en place, s’adressant aux primo-accédants. Il s’agit d’un prêt à taux zéro, qui peut être utilisé pour compléter un prêt immobilier classique pour l’acquisition d’un bien neuf ou ancien.